Genestra Brands
Citrigen (90 Caps)
$44
Combinaison d’échinacée et de flavonoïdes • L’Echinacea angustifolia est traditionnellement utilisée en phytothérapie pour aider à soulager les symptômes des infections des voies respiratoires supérieures et pour aider à soulager les maux de gorge • Fournit 1000 mg de racine d’échinacée par dose quotidienne • Comprend 480 mg d’extrait de pamplemousse (9600 mg d’équivalent séché, normalisé à 45 % de bioflavonoïdes) par dose quotidienne • 80 mg de feuille de thé vert et 40 mg de feuille de menthe poivrée par dose quotidienne Le citrigen est une source d’Echinacea angustifolia, qui est traditionnellement utilisée pour aider à réduire les symptômes des infections des voies respiratoires supérieures (IVRS) et des maux de gorge. L’échinacée réduit la libération de cytokines pro-inflammatoires par les cellules immunitaires et les agents pathogènes envahissants, notamment l’IL-6 et le TNF-?, qui contribuent aux symptômes des IVRS.1 Les adultes qui consommaient 100 mg d’extrait de racine d’échinacée par jour ont démontré une diminution significative des taux d’ARNm pro-inflammatoires d’IL-6 et de TNF-? après quatre semaines de supplémentation. L’échinacée stimule également l’activité phagocytaire des cellules immunitaires et diminue la survie des bactéries. 1,3 La recherche démontre que l’échinacée peut diminuer la sécrétion de mucine, réduisant ainsi la quantité de mucus produite lors des infections.3 TRPV1 est un récepteur de la douleur présent dans les tissus sensoriels qui intègre la douleur et les réponses inflammatoires.4 La désensibilisation de ce récepteur peut bloquer la douleur de transmission, et les agonistes des récepteurs peuvent donc exercer des effets analgésiques.4 La recherche in vitro démontre que la racine d’Echinacea angustifolia est 10 fois plus efficace pour activer le récepteur TRPV1 que la capsaïcine, un ligand puissant pour le récepteur.4 Comme l’échinacée peut activer et désensibiliser ce récepteur, elle aide à réduire la douleur associée aux infections, y compris les maux de gorge.4 RÉFÉRENCES 1. Woelkart, K, Bauer, R. Planta Med. 2007 , 73(7): 615-623. 2. Hudson, J.-B. Journal de biomédecine et de biotechnologie. 2012, 2012: 769896. 3. Dapas, B, Dall’Acqua, S, Bulla, R, Agostinis, C, Perissutti, B, Invernizzi, S, Voinovich, D, Grassi, G. Phytomédecine. 2014, 21: 1406_1410. 4. Birt, DF, Widrlechner, MP, LaLone, CA, Wu, L, Bae, J, Solco, AKS, Kraus, GA, Murphy, PA, Wurtele, ES, Leng, Q, Hebert, SC, Maury, WJ, Price, JP. Am J Clin Nutr. 2008, 87(2) : 488S-492S.
